Une journée sur DRP : la culture sous toutes ses formes

En plein cœur de la capitale, dans le Jardin des Tuileries, les adeptes de la street culture se sont réunis pour 3 jours de célébration.

De nombreuses marques et intervenants ont répondu présents. Entre compétition de skate enflammée, marques streetwear et mocktails revigorants, il fallait y être pour capter l’ambiance énergisante et communicative qui circulait de chaque côté de la tente.

DRP, un magazine et un festival impulsé par WSN pour mettre mode, musique et surtout culture à l’honneur. À travers les 4 numéros du magazine déjà sortis, la street culture est célébrée au fil des pages avec des interviews d’artistes, des contributions de photographes et d’acteurs clés de l’industrie. Le magazine revient avec son 5ème volet et pour célébrer cette sortie, DRP organisait son festival pour la seconde fois. On revient sur les moments forts du festival.

Une journée sous le signe de la créativité

Pour son premier jour d’ouverture au public, le festival DRP a commencé à se remplir d’amoureux de la culture urbaine, dès son ouverture à 11h. Pour les chanceux qui avaient réussi à se procurer un pass pour le festival, la sélection d’un choix pointu de marques faite par l’équipe DRP a directement convaincu les festivaliers. 

Couleurs et affiches habillaient les espaces ultra mode de Fila, DDP, Parur ou encore Dutreuil qui s'étaient installées dans le Jardin des Tuileries. Chaque griffe avait conçu son propre univers, pour un circuit à travers le streetwear sous toutes ses déclinaisons. 

 Côté sneakers, les adeptes de la chaussure étaient servis. Un étalage de paires vintages avait été sélectionné par Rétroshop et Cashville où les festivaliers pouvaient se procurer des éditions limitées et autres trésors à se mettre aux pieds. 

Pour les amoureux d’arts, des expositions décoraient les murs pour célébrer les 50 ans du Hip Hop. D’un côté, le collectionneur Herbby et les pièces mythiques de collection. De l’autre une exposition “bike life” du photographe Hugues Lawson-Body conçue par Dissident Pictures. Dans un espace spécialement dédié au magazine, le collectif DRP avait réuni les œuvres des artistes Marvin Bonheur, Calixte Bernard et Nitram, contributeurs des précédents magazines. 



En circulant à travers les allées, les visiteurs pouvaient se réunir du côté du bar Monster. Mis en place avec la marque de boisson, un florilège de mocktails y était servi tout au long de la journée. En face, difficile de passer à côté du bourdonnement de la machine de Syam Tattoo Ink où des festivaliers se sont succédé pour se faire tatouer un flash de l’artiste.

En fin de matinée, on se réunissait autour de la piste de skate pour voir danser les robots de Céline Shen avec sa chorégraphie “Star hunting”. Juste après, rendez-vous sur une scène agrémentée d’une déco à l’ambiance ultra vintage où les visiteurs ont pu assister à un talk donné par Aurélien Chapuis, directeur de la musique du média Konbini. Les beatmakers Shaz et Raydaprince y partageaient leur expérience dans l’industrie musicale. 

Ensuite, place à la compétition. Game of Skate impulsé par Monster avait invité des skateurs à venir tenter leur chance pour remporter un prize money de 3000 euros. En prime, une performance d’Aurélien Giraud, champion du monde de la discipline. Le bruit des planches de skate sur le parquet, l'énergie vibrante et le DJ set par Hotel Radio Paris ont définitivement marqué les esprits des visiteurs.

Après une journée à arpenter le playground dédié à la street culture, les cool kids de la communauté DRP se sont réunis dans l’espace dédié au fond de la tente pour une soirée propulsée par Homi TV. Autour de la scène, la surface s’est vite remplie lorsque les premiers invités ont commencé leur show. Coelho, Omizs, Keda ou encore Maureen ont pris d'assaut les lieux pour une soirée enflammée.

Résultat, un public en folie pour clôturer cette première journée sur DRP, prêts à enchaîner avec les autres surprises du festival.

Emilie Issart

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