Julien Martinez, fondateur de la maison de souliers haut-de-gamme Souliers Martinez, incarne la fusion parfaite entre savoir-faire artisanal traditionnel et innovation contemporaine. Alliant ses profondes racines espagnoles à ses influences culturelles parisiennes, son entreprise se distingue par une approche unique du tressage du cuir, soutenue par des valeurs durables engagées et une forte éthique.
Lors d’un entretien exclusif avec WSN, Julien partage les dynamiques qui animent sa vision créative et retrace l’histoire et l'évolution de sa maison. Le créateur mène une réflexion approfondie sur les challenges et opportunités des industries créatives tout en abordant les perspectives de notre partenariat à venir sur le prochain salon Premiere Classe, à retrouver au Carrousel du Louvre du 28 au 30 septembre prochain.
Julien Martinez a fondé sa marque de chaussures en s'inspirant d'une technique de tressage découverte à l’occasion d’une visite d’ateliers dans la région d’Alicante (Espagne). Durant dix ans, le créateur a travaillé comme designer indépendant pour de grands noms du soulier tels que la maison Carel. “Parvenant difficilement à intégrer ce savoir-faire dans les collections de mes clients, de part son coût notamment, j’ai décidé d’en faire la force de mon projet, de l’identité de ma marque. Une signature esthétique singulière pour mes créations.” précise-t-il.
En accédant aux archives des ateliers de tressage de la région, il découvre en détails un savoir-faire unique détenu par une poignée de locaux, des femmes qui ont dédié leur vie à développer cette technique notamment, qui travaillent le cuir dans leur propre maison : "Remettre ce savoir-faire au goût du jour avec des modèles contemporains était l'objectif. Conjuguer l'artisanat de nos ancêtres et l’aura solaire de l’Espagne à un esprit d'élégance à la française," soutient-t-il.
Cela a rapidement attiré l'attention de Net-A-Porter, qui a sélectionné Julien Martinez pour leur programme de mentoring, The Vanguard, en 2017, les exposant à l’international à travers leur plateforme d’E-commerce, première étape clé dans l’ascension de Souliers Martinez.
La vision créative de Julien Martinez se concentre sur la mise en valeur du savoir-faire artisanal derrière chaque pièce. Il développe des formes de talons uniques et des structures de chaussures singulières, notamment par une ligne de cuir tressé qui est devenue la signature emblématique de la marque. Julien développe : "Nous cherchons à créer des produits intemporels et durables, fusionnant mes influences culturelles, la lumière enchanteresse d’un été en Espagne, avec une sophistication parisienne plus formelle" .
Leurs souliers sont conçus pour transcender les tendances éphémères et apporter une touche méditerranéenne au rythme frénétique de la vie urbaine. Julien Martinez sublime les femmes avec force et assurance dans l’équilibre subtil d’un talon à juste hauteur, le charisme d’une esthétique élégante et contemporaine.
L'incubateur ADC (Au-delà du Cuir) a joué un rôle crucial dans la restructuration de Souliers Martinez après la crise du Coronavirus. Julien raconte : “ADC, nous a accompagnés en mettant à disposition des experts très sectoriels dans les domaines de la finance, des RH et des opérations juridiques afin, entre autres, d'accélérer notre digitalisation, tout en trouvant des moyens de financement de court terme pour assurer nos productions et notre développement futur.”
L'incubateur a également favorisé l'entraide entre entrepreneurs via des groupes de discussion directs, permettant à Julien d’échanger sur les meilleures pratiques pour naviguer à travers les défis de l’industrie de la mode grâce à un réseau de soutien solide et collaboratif entre créateurs lauréats tels que Philippe Zorzetto.
Initialement exposant sur des showrooms multi-marques, c’est sur les conseils d'ADC que Julien décide tout récemment de prendre part au salon Premiere Classe dans l’optique d'étendre la visibilité internationale et la distribution de Souliers Martinez en touchant de nouveaux acheteurs. "C'est une opportunité de visibilité et de développement, en particulier vers des pays et marchés où nous ne sommes pas encore présents," explique le designer avec enthousiasme. Participer à ce salon permettra à la maison de souliers de bénéficier du trafic généré par nos événements et mettre en avant son projet face à une audience plus large et diversifiée.
À l’occasion de ce premier salon pour Souliers Martinez, Julien espère qu’il lui apportera principalement de la visibilité globale, une opportunité d’étendre sa distribution internationale et de toucher de nouveaux acheteurs, un nouveau public. "Nous espérons que ce salon nous aidera à établir une présence plus large et à long terme," ajoute-t-il, envisageant même la possibilité d'avoir son propre stand à l'avenir pour exposer davantage de créations.
Nos salons sont aussi vecteurs d’interactions uniques entre les esprits créatifs et acteurs de nos industries, une multitude de possibilités d’échange et de collaboration.
L'héritage espagnol de Julien, traduit notamment par les souvenirs d’enfance du créateur lors de ses vacances, a fortement influencé son travail. Fusionner l'esprit intemporel de l’artisanat traditionnel à la modernité des formes et esthétiques urbaines est au cœur de ses dynamiques créatives. Julien précise : "Chaque chaussure que je crée doit refléter cet équilibre entre l'Espagne et la France, l'artisanat et le contemporain".
Cette dualité culturelle se traduit au travers de souliers sophistiqués, où chaque détail conte l’histoire de ceux et celles qui les ont créés, la promesse d’une qualité exceptionnelle.
Les principaux défis auxquels Souliers Martinez se confronte s’articulent à travers un besoin de diversification de sa clientèle et de ses partenaires wholesale notamment. La marque s’appuie sur des partenariats solides à long terme avec ses revendeurs, mais Julien avertit: “L’enjeu est de faire face à la disparition de certains de nos plus importants clients wholesale. Élargir nos horizons en établissant des collaborations durables et plurielles nous permet de répondre à ces problématiques et d’assurer notre indépendance, autre enjeu majeur de notre premier salon!”
Cela traduit également un enjeu de diversification dans la stratégie de distribution de la marque. Julien insiste sur l'importance d'une présence wholesale forte qui doit se conjuguer au ‘direct-to-consumer’ via le e-shop, et par extension en retail avec des boutiques physiques.
"Un autre enjeu majeur est le sourcing, nos chaînes d’approvisionnement locales, et par conséquence la préservation des savoir-faire en Europe," affirme-t-il, soulignant la difficulté de trouver des partenariats à long terme avec des usines en Espagne, en Italie et au Portugal tout en faisant perdurer un héritage qui se perd au profit de productions industrialisées au-delà des confins du vieux continent.
Pour Julien Martinez, considérer et agir au regard des régulations de durabilité et des normes de travail éthique est un défi complexe mais crucial pour les industries créatives : "Nous travaillons avec des cuirs européens certifiés, tout en fabriquant nos produits en Espagne, en Italie et au Portugal," détaille-t-il. Souliers Martinez collabore avec des tanneries certifiées ‘LWG’ et s'efforce de minimiser son empreinte écologique, tout en repoussant les pratiques de ‘greenwashing’ pour garder une transparence totale avec ses clients.
“Nos actions sont simples et concrètes. Nous nous efforçons de garder une forte éthique professionnelle dans l’ensemble de nos opérations et mettons un point d’honneur à faire état des bonnes conditions encadrant notre production par nous-même, via des visites auprès de nos collaborateurs et des rétributions justes pour chacun. L’utilisation de stocks dormants, la suppression des emballages plastiques et la proximité de notre sourcing s’inscrivent également dans cette démarche”.
La singularité des Souliers Martinez repose sur leur savoir-faire du tressage, une signature qui est la force de leurs créations les plus iconiques. Julien et son équipe développent des concepts uniques et se différencient sur le marché en proposant un produit versatile, dont les accents estivaux vous accompagnent des Baléares aux froides saisons hivernales de Paris.
"Nous innovons continuellement pour maintenir notre cohérence, sans suivre aveuglément les tendances du marché," affirme-t-il.
Leur approche tend à exclure les influences concurrentes en se concentrant sur leur propre vision créative tout en réalisant avec excellence des pièces aussi intemporelles que contemporaines .
La collection qui sera présentée à nos acheteurs en septembre est un véritable retour aux essentiels pour Souliers Martinez, leurs emblématiques souliers en cuir tissé comme protagoniste. Julien annonce : "Nous présenterons des modèles iconiques tels que la ROBERTA (une botte haute en cuir tissé), retravaillés avec des talons et des formes nouvelles." Cette sélection pour leur collection Été 2025 sera une célébration de leurs origines, mettant en avant les produits les plus iconiques de la marque.
L'une des priorités pour Souliers Martinez est de se recentrer sur son développement aux États-Unis, actuellement leur premier marché pour la vente en e-commerce: "Nous voulons renouer avec la croissance sur le marché américain pour le wholesale," insiste Julien.
À moyen terme, la maison envisage également de développer une ligne de maroquinerie, bien que les enjeux premiers de la marque se concentrent encore sur l’accroissement de leur portée à l’étranger. “Premiere Classe est aussi une opportunité d’explorer de nouveaux marchés internationaux et de défendre notre vision sur d’autres continents” développe Julien avec ferveur.
Julien Martinez souhaite aussi transmettre un message fort aux jeunes créateurs de l’industrie de la mode: "Premièrement, ça va être très dur, accrochez-vous! Deux, la création représente peut-être 10% du travail, le reste est essentiellement relatif à la gestion d'entreprise, la comptabilité, la finance, le commercial, la logistique… Il faut être très polyvalent et se faire à cette réalité. Trois, trouvez le bon partenaire industriel dès les premières années et soyez sûrs et confiants dans le message que vous voulez transmettre à travers vos créations."
Une perspective unique dont il espère qu’elle pourra aussi motiver ces designers émergents à faire perdurer la créativité dans une dynamique transformative et positive pour nos industries.
L'expérience et la vision de Julien Martinez offrent un aperçu précieux du parcours d'un créateur dans l'industrie du soulier premium. En alliant héritage culturel et innovation, Souliers Martinez continue de se démarquer sur le marché international tout en faisant perdurer les savoir-faire traditionnels qui continuent de faire battre le cœur de la créativité en Europe. Les conseils et perspectives partagés par Julien sont une source d'inspiration pour les jeunes créateurs et un témoignage de la résilience et de la passion nécessaires pour réussir dans le monde de la mode.
Cet échange est aussi porteur d'un message engagé: établir des partenariats forts et durables dans l’industrie est crucial pour faire perdurer le développement de tous et répondre aux enjeux de chacun. Une perspective partagée que WSN apporte et défend à travers nos salons et notre accompagnement continu.
L’œil parisien des grands magasins japonais Isetan Mitsukoshi, Asano Miyazaki nous dévoile ses derniers coups de cœur découverts sur Who’s Next.
Reinhard Plank (Fondateur et modiste), originaire de Vipiteno (Italie) près de la frontière autrichienne, a d'abord étudié le design à Vienne avant de se lancer dans la chapellerie "J'ai commencé avec les chapeaux à Vienne, et mon premier modèle classique a eu un grand succès", raconte-t-il. Attiré par l’héritage de Florence en matière de fabrication de chapeaux, Reinhard a choisi cette ville pour perfectionner son art.
Lors de la dernière édition du Who’s Next, nous avons eu la chance de discuter de l’essor du marché de la bijouterie masculine et de la longue temporalité des tendances horlogères avec Camille Pouvreau et Lucas Bouteille, acheteurs pour les Galeries Lafayette.
Acteur emblématique de l'horlogerie depuis les années 50 grâce à la distribution de marques suisses traditionnelles, le groupe américain Movado s’est depuis développé partout dans le monde tout en ouvrant son offre à des pièces plus contemporaines et à la bijouterie.
Fondée en 1954 par les parents de l'actuel dirigeant, Antonio, la maison de souliers italienne Guglielmo Rotta est la parfaite illustration d’un artisanat familial qui a su évoluer tout en restant fidèle à ses racines. Lors de cette édition, la marque a présenté une collection qui illustre à merveille son engagement envers la qualité, l’intemporalité et le savoir-faire italien.
“Streetwear but make it Couture!” Very Rare, marque de lifestyle et prêt-à-porter sous la direction de Raf Reyes, incarne une vision avant-gardiste du streetwear à travers ce que le créateur définit comme ‘street couture’. Née pendant la crise sanitaire de 2020, cette marque familiale, fondée avec son grand frère, se distingue par des silhouettes fluides, des détails complexes tels que la broderie, le flocage et les impressions graphiques, ainsi que des influences fortes des sous-cultures des années 90.
Depuis plus de 15 ans, BSL, une marque turque de prêt-à-porter, s'est imposée sur le marché de la mode en Turquie, avec des magasins dans les métropoles majeures du pays telles qu’Istanbul, Izmir, Ankara et Antalya. Initialement concentrée sur ses propres points de vente, BSL a initié une nouvelle stratégie l'année dernière : l'expansion de son réseau de distribution à travers l'Europe.
Réinterpréter son héritage Braccialini, marque iconique italienne de Florence, célèbre cette année son 70ème anniversaire." Nous sommes nés à Florence, et la beauté naturelle et architecturale de la Toscane inspire grandement nos créations ", partage Daniela, agent commerciale pour la marque.
L’artisanat au cœur de la création bijoutière: Un parcours autodidacte et l'essor de l'atelier Gatsby Soudure. Depuis ses débuts il y a 15 ans, Julie Sion s’est imposée dans le monde de la bijouterie fantaisie avec une approche unique et passionnée. "Je suis tombée dans ce métier un peu par hasard," admet-elle. Autodidacte, sa première approche de la création s’articule au travers d’une approche artisanale, avant de collaborer avec des ateliers français dans l’optique de garantir une production éthique et qualitative pour sa marque éponyme. Ces collaborations l'ont amenée à développer une communauté forte et engagée, tant autour de son projet créatif que par les valeurs humaines que la créatrice défend à travers son travail.
Lors de leur première participation au Who’s Next, la marque sud-coréenne Temp’s, dirigée par Joanne Jeon Eun-jung, a su attirer l'attention grâce à son engagement profond pour la durabilité allié à une approche moderne et conceptuelle du design.
Rencontre avec Abasiekeme Ukanireh, la fondatrice et directrice artistique visionnaire de la marque nigériane Eki Kere qui consacre le raphia dans ses créations colorées issues d’un savoir-faire unique.
Pamela Kemmat, influenceuse et fondatrice de la boutique Pamela Rouen, et sa mère Nadège Thevenon (fondatrice de Paloma Rouen) se confient sur leur expérience à Who’s Next, centre névralgique de la profession depuis plusieurs décennies.
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La Street Culture se dessine dans la complexité d'âme de la ville. Les êtres qui l'habitent, en tant que communauté, sont ceux qui définissent et codifient ses subtilités.Le lifestyle, la mode, l'art et la musique s'entrelacent à travers le mélange cosmopolite qui caractérise la singularité de l'énergie d'une ville.
Depuis sa création en 2019, La Mode Européenne (LME) se distingue par son approche innovante et transformative de l'industrie de la mode. En créant des boutiques solidaires au Congo-Brazzaville et au Cap-Vert, approvisionnées grâce à des boîtes de dons de vêtements et accessoires qu’ils font circuler en France et en Europe, La Mode Européenne s'engage pour la réinsertion sociale et professionnelle et crée de l’emploi à échelle locale.
Lavinia Muth, économiste de formation spécialisée en éthique des entreprises pour les acteurs du paysage mode, a consacré 15 ans à l'avancement des normes sociales et écologiques dans les industries textiles et créatives. Son travail en tant qu'auditrice externe, consultante et enquêtrice, en collaboration avec des salons comme Messe Frankfurt, souligne son engagement à lutter contre la « corporate sustainability » et le « greenwashing ».
Julien Martinez, fondateur de la maison de souliers haut-de-gamme Souliers Martinez, incarne la fusion parfaite entre savoir-faire artisanal traditionnel et innovation contemporaine. Alliant ses profondes racines espagnoles à ses influences culturelles parisiennes, son entreprise se distingue par une approche unique du tressage du cuir, soutenue par des valeurs durables engagées et une forte éthique.
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Née à Rimini de la vision de la jeune créatrice italienne éponyme Judy Mazzotti, Judy a créé sa marque en se focalisant sur l'avenir et les recherches, et le développement axés sur l'innovation et la durabilité.
Fondé par Dunya Boukhers, le label présente ses pièces upcyclées et colorées sur Who’s Next. Sur ses vêtements ultra-mode, Isis Dunya mélange des patterns identifiables de sa marque avec toutes sortes de tissus. Une démarche éthique, écologique et inclusive qu’elle souligne par une production Made In Paris. Isis Dunya fait rayonner les corps dans ses collections en référence à ses origines turco-algériennes.
Jeune créateur breton, Tanguy Mélinand a reçu le prix Texpertise lors de la 27ème édition du festival.
Depuis 1985, Hyères accueille chaque année le Festival de la Mode et de la Photographie.
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À la Caserne, incubateur de mode responsable du 10ème arrondissement parisien, Jeanne Friot crée une mode impactante.
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Dans l’après-midi, lors de la première journée de Who's Next League, nous avons discuté avec Camille Mère. Elle est responsable des achats, des événements et des nouveaux business en matière d'économie circulaire, de durabilité, de mode et de retail aux Galeries Lafayette.
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Yuka, qui propose du prêt-à-porter féminin, a été fondée par le père de Laure Zylbersztejn en 1986. Il n’y a alors pas d’image de marque vraiment défini et de stratégie marketing. En 2017, Laure reprend la direction artistique de la marque YUKA et crée « Studio 76 ».
Les sacs en cuir made in Spain Mercules est une marque de maroquinerie, d'accessoires et lifestyle. Chaque produit est fait à la main en Espagne et profite du savoir-faire local. Fondé en 2010 par Mercedes Gallego Ruiz, l’ancienne créatrice de Massimo Dutti et Loewe.
Créé par Cristel Gaidon, Bee Valentina a tout juste trois ans. Son idée ? Donner une autre image et donner plus d’allure à des médaillons anciens chinés chez des antiquaires ou dans des monastères.
Le multimarque en pleine mutation. L’enseigne Paula Coste a été créée en 1989 à Dijon, le premier de la sorte dans la capitale de la Bourgogne. Elle a connu des évolutions depuis sa création : au commencement, le multimarque proposait du prêt-à-porter puis vinrent les souliers et les accessoires.
La mode, une éducation Instituto Marangoni, the Paris School of Fashion est une école de mode, devenue une référence incontournable dans la sphère fashion, depuis sa fondation en 1935. Des professionnels passionnés orchestrent la formation qui vise à offrir aux étudiants une vraie porte d’entrée dans le monde du travail.
Bérine est une marque de soins transparente et authentique, à la fois premium et accessible. Elle est premium dans la sophistication de la formule et l’univers de marque, mais accessible en termes de prix.
Who’s Next - Fame est ravi d’accueillir à nouveau Mehtap Elaidi ! La créatrice turque, également présidente de la Turkish Fashion Designers Association, nous livre ses inspirations printemps-été 2019 et son expérience salon.