Retour sur 35 ans d’accessoires avec Dominique Denaive
En 1989, Premiere Classe débutait à Paris avec déjà l’ambition de s’imposer dans l’univers de l’accessoires. Pour saluer cette longévité, nous avons demandé à 3 marques de la première heure de nous raconter leurs souvenirs.
Premier invité : le créateur de bijoux Dominique Denaive.
Vous souvenez-vous de votre première participation à Premiere Classe ?
Bien sûr, je m’en souviens. Mon premier salon était en 1982 avec le Salon des Halles, avant d’arriver aux Tuileries sur un salon appelé "La Mode aux Tuileries". J’ai ensuite participé aux premières sessions de Premiere Classe, d'abord en “mode Village” dans le hall 7 du salon Prêt à Porter Paris qui était Porte de Versailles.
Avez-vous au cours de ces années, un souvenir qui vous a marqué ?
J’en ai plein ! Je pense notamment à Premiere Classe à Dubaï, avec une fête magnifique. Des fêtes à Paris également, sur une péniche sur la Seine, puis au Jeu de Paume... Je pense aussi à une avalanche d’acheteurs japonais à nous demander où sont les Américaines ? Je repense à des rencontres entre exposants qui sont depuis devenus des amis, des rigolades entre voisins pendant les temps morts. Bref, des souvenirs forts mêlant mode et fête.
Que représente Premiere Classe pour vous ?
C’est un salon orienté export et haut de gamme avec des accessoires d'exception qu'on ne trouve pas ailleurs. C’est le chic parisien au centre de Paris. C’est La Fashion Week plus près des défilés. C’est un salon plus intime que les grands halls d'exposition.